Nette évolution des droits de l’homme au Maroc sous le règne du Roi Mohammed VI

Depuis son intronisation en 1999, le Roi du Maroc Mohammed VI a toujours insisté sur le respect des droits de l’homme et des libertés individuelles et collectives à travers les grandes réformes initiées dans le Royaume.

Ainsi la question des droits humains a été durant ces deux dernières décennies, au centre des réformes politiques, administratives et juridiques entreprises au Maroc avec la suppression de la plupart des réserves émises par Rabat au sujet de certaines clauses des conventions internationales en la matière.

Le lancement de ces réformes et l’élargissement des droits de l’homme, ont été accompagnés par la création de nombreuses institutions dédiées à la promotion et à la protection des droits humains.

Les dites réformes ont été par ailleurs largement confortées et consolidées par la dernière Constitution de juillet 2011 qui a également officialisé  l’indépendance du pouvoir judiciaire et élargi les pouvoirs de l’exécutif et du parlement et leurs attributions.

Cette amélioration des droits de l’homme et toutes ces réformes ont concerné toutes les régions du Royaume et particulièrement les provinces du Sahara où ont été installées des Commissions régionales du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) à Dakhla et Laâyoune, coupant court aux critiques des adversaires du Maroc dans ce domaine.

D’ailleurs, dans sa résolution 2468 d’avril 2019 sur le Sahara et qui avait prorogé pour six mois, le mandat de la MINURSO, le Conseil de sécurité de l’ONU avait salué «les mesures et les initiatives prises par le Maroc, et le rôle joué par les Commissions» du CNDH à Dakhla et Laâyoune.

Le Conseil de Sécurité qui a de même salué l’interaction du Maroc avec les Procédures spéciales du Conseil des droits de l’Homme des Nations-Unies, au profit des populations de ces régions, n’a pas manqué, en revanche, d’exprimer sa «profonde inquiétude» au sujet des «souffrances continues» des populations des camps de Tindouf, en Algérie, ainsi que leur grande «dépendance de l’aide humanitaire extérieure».

Le Conseil de sécurité a reformulé dans sa résolution, sa demande pour l’enregistrement et le recensement des habitant des camps de Tindouf, en insistant pour que des «efforts soient réalisés dans ce sens».

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