Selon le journal algérien El Moudjahid, dans son édition Internet du 22 janvier 2008, le Polisario envisage le lancement d’un deuxième appel d’offre pour la prospection pétrolière dans le territoire du Sahara. L’information ne mérite pas de commentaire, comme elle ne mérite pas le rappel de certains faits historiques si le journal n’avait pas précisé que la plupart des blocs, objet de l’offre, se trouvaient dans le bassin d’El-Ayoune et avaient déjà fait l’objet d’un programme de prospection, dans les années 50 – 60 du siècle dernier, sous l’occupation espagnole. El Moudjahid, organe du FLN pendant et après la guerre de libération de l’Algérie, se souvient certainement de la boulimie pétrolière qui s’est emparée à la même époque, des compagnies pétrolières qui soutenaient l’occupation française du Sahara algérien. La loi votée en 1958 par la France, sur l’exploitation du pétrole au Sahara et qui permettait aux sociétés étrangères de s’associer avec la France pour l’exploitation du pétrole saharien, avait fait l’objet à l’époque d’une éloge de la part du journal américain le New York Times, pour qui le Sahara « peut devenir une source de richesses non seulement pour la France mais aussi pour ses alliés et ses amis du monde libre ».
Le pétrole a été toujours considéré comme une donnée largement prise en compte par la colonisation dans la délimitation des territoires connus par leurs champs pétroliers. La dureté, l’intensité et les férocités commises par l’occupant pendant la guerre d’Algérie sont imputables en partie aux intérêts pétroliers de la France. C’est dans ce contexte que la France créa l’O.C.R.S. (Organisation Commune des Régions Sahariennes) et proposa au Maroc sa participation au projet, participation qu’il rejeta par solidarité avec l’Algérie. Ce n’est qu’en 1962 que la France s’assure au moment de la signature des accords d’évian que ses intérêts dans la région seraient maintenus, ce qui comprend la primauté industrielle et commerciale sur les gisements sahraouis, lui garantissant son indépendance énergétique.
Toujours d’après le journal El Moudjahid, les contrats proposés par le Polisario aux compagnies pétrolières constituent une formule de partage de production garantie d’une validité maximum de 10 ans jusqu’à ce que la (R.A.S.D) recouvre sa souveraineté sur ces territoires et sur ses richesses naturelles. Pour le Polisario, l’octroi des autorisations s’inscrit en perspective de la préparation du recouvrement de l’ensemble du territoire, d’autant que le processus de médiation entre le Maroc et le Polisario, engagé par l’ONU, progresse vers un règlement durable. Le Polisario n’est pas à sa première supercherie, déjà le 27 mai 2002 le pseudo gouvernement de la (R.A.S.D.) avait procédé à la signature d’un contrat technique de coopération avec la société britanico – australienne « Fusion Oil », en vue d’évaluer le potentiel pétrolier offshore du Sahara.
L’évolution du conflit en faveur du Maroc a alerté la perfidie du Polisario et ses souteneurs, qui voyant le vent soufflé contre leur gré se lancent dans une tentative de faire pression sur les grandes puissances et certains pays importateurs du pétrole par lobbys pétroliers interposés et saper en même temps le moral des citoyens vivants paisiblement au Sahara, de plus en plus indifférents à la symphonie séparatiste répétée depuis plus de 30 ans. Le Polisario s’aventure dans une compagne malveillante visant un effet de propagande en s’associant à des contrebandiers de pétrole, comme il y’en à un peu partout dans le monde. Tout le monde le sait, que l’arme du pétrole a été dans la majorité des cas non pas un moyen d’influence positif, mais plutôt une capacité de nuire.
Le journal El Moudjahid « hélas » doit se rappeler cette réflexion d’un grand homme politique européen qui, parlant de l’affaire du conflit du Sahara, avait dit : « dans cette affaire planent deux logiques ou bien les ressources sahariennes servent au développement des populations du nord, nombreuses et peu favorisées, alors le Maroc n’a pas tort ou bien l’unité de la zone saharienne dans ses ressources et ses populations est reconnue. Il faut alors revoir toute les frontières et accepté la création d’un état riche, peu peuplé très étendu ».
Quant au Polisario, il doit saisir l’opportunité d’autonomie si précieuse qu’elle offre toute les portes de l’espérance, et si pétrole il y a au Sahara il profitera à tous dans une région prospère et stable.
Toujours d’après le journal El Moudjahid, les contrats proposés par le Polisario aux compagnies pétrolières constituent une formule de partage de production garantie d’une validité maximum de 10 ans jusqu’à ce que la (R.A.S.D) recouvre sa souveraineté sur ces territoires et sur ses richesses naturelles. Pour le Polisario, l’octroi des autorisations s’inscrit en perspective de la préparation du recouvrement de l’ensemble du territoire, d’autant que le processus de médiation entre le Maroc et le Polisario, engagé par l’ONU, progresse vers un règlement durable. Le Polisario n’est pas à sa première supercherie, déjà le 27 mai 2002 le pseudo gouvernement de la (R.A.S.D.) avait procédé à la signature d’un contrat technique de coopération avec la société britanico – australienne « Fusion Oil », en vue d’évaluer le potentiel pétrolier offshore du Sahara.
L’évolution du conflit en faveur du Maroc a alerté la perfidie du Polisario et ses souteneurs, qui voyant le vent soufflé contre leur gré se lancent dans une tentative de faire pression sur les grandes puissances et certains pays importateurs du pétrole par lobbys pétroliers interposés et saper en même temps le moral des citoyens vivants paisiblement au Sahara, de plus en plus indifférents à la symphonie séparatiste répétée depuis plus de 30 ans. Le Polisario s’aventure dans une compagne malveillante visant un effet de propagande en s’associant à des contrebandiers de pétrole, comme il y’en à un peu partout dans le monde. Tout le monde le sait, que l’arme du pétrole a été dans la majorité des cas non pas un moyen d’influence positif, mais plutôt une capacité de nuire.
Le journal El Moudjahid « hélas » doit se rappeler cette réflexion d’un grand homme politique européen qui, parlant de l’affaire du conflit du Sahara, avait dit : « dans cette affaire planent deux logiques ou bien les ressources sahariennes servent au développement des populations du nord, nombreuses et peu favorisées, alors le Maroc n’a pas tort ou bien l’unité de la zone saharienne dans ses ressources et ses populations est reconnue. Il faut alors revoir toute les frontières et accepté la création d’un état riche, peu peuplé très étendu ».
Quant au Polisario, il doit saisir l’opportunité d’autonomie si précieuse qu’elle offre toute les portes de l’espérance, et si pétrole il y a au Sahara il profitera à tous dans une région prospère et stable.