Réunies au Palais des congrès de Laâyoune, dimanche dernier, des organisations civiques féminines ont lancé un appel pressant au gouvernement marocain pour accélérer la mise en œuvre de l’initiative d’autonomie des provinces du sud et ce, afin de mettre fin aux multiples souffrances des femmes sahraouies et des enfants dans les camps de Tindouf, en Algérie, victimes d’exploitation, d’intimidation et d’abus sexuels. Cette approche, réaliste et démocratique, permettra de réunir les familles séparées et de ressouder l’idéal familial autour des mères, longtemps affectées par les actes forcés de séparation de leur progéniture embrigadée dans les milices armées du Polisario. Les femmes, ont-elles souligné, sont les principales victimes de ce conflit artificiel, nourri et alimenté par les ambitions irraisonnées de pays tiers et qui entrave gravement le développement de la région maghrébine dans le concert des nations méditerranéennes. Aussi, à la suite de cette rencontre, une lettre a été rédigée et lue devant les participantes à ce meeting de solidarité avec les femmes sahraouies, séquestrées à Tindouf pour être adressée au Secrétaire général de l’ONU, M. Ban Ki – Moon .
Dans cette lettre, les participantes ont indiqué que «les seuls bénéficiaires de cette catastrophe humanitaire qui ne doit pas être oubliée» sont les dirigeants de l’Algérie et leurs laquais du Polisario, ainsi que certains séparatistes à l’intérieur qui ne représentent qu’eux même et font de la surenchère politique pour leur profit personnel.
Elles ont rappelé, en outre, que «La seule représentativité féminine légale reconnue à l’échelle internationale est celle émanant des urnes au moyen d’élections démocratiques», et non pas celle émanant du tripatouillage de pays tiers visant à fausser les réalités ou de compères auto-proclamés.
Elles ont, également, renouvelé leur confiance dans le travail effectué par Ban-Ki-moon, à la tête de l’Onu pour renforcer la paix et la sécurité internationales, tout en saluant les efforts déployés par ses représentants et ses envoyés et l’ensemble des composantes de la mission de la Minurso dans leur mission de bons offices en vue d’aboutir à une solution juste et réaliste au conflit artificiel du Sahara marocain.
Elles ont rappelé, en outre, que «La seule représentativité féminine légale reconnue à l’échelle internationale est celle émanant des urnes au moyen d’élections démocratiques», et non pas celle émanant du tripatouillage de pays tiers visant à fausser les réalités ou de compères auto-proclamés.
Elles ont, également, renouvelé leur confiance dans le travail effectué par Ban-Ki-moon, à la tête de l’Onu pour renforcer la paix et la sécurité internationales, tout en saluant les efforts déployés par ses représentants et ses envoyés et l’ensemble des composantes de la mission de la Minurso dans leur mission de bons offices en vue d’aboutir à une solution juste et réaliste au conflit artificiel du Sahara marocain.